RDC : Trois faits constatés dans le discours du Président de la République par François RUBOTA
RDC : Trois faits constatés dans le discours du Président de la République par François RUBOTA
Après le Discours sur l’état de la nation prononcé par le Président de la République à travers les deux Chambres du Parlement réunis en Congrès, les réactions fusent de partout.
Pour l’autorité morale de l’ADRP et ministre honoraire du développement rural Francois RUBOTA son constat est très impressionnant et suscite des vives réactions dans les salons politique sans ambages.
Le leader du Sud-Kivu confirme avoir constaté trois faits notamment :
* le réalisme
* la Constance
* et la cohérence
Le Président de la République a décrypté les grandes réalisations à travers le premier mandant. Il a ressorti de manière Claire des perspectives qui augurent d’un meilleur avenir pour la RDC. souligne François RUBOTA
S’agissant de la réforme constitutionnelle l’homme du Sud-Kivu montre que le Président de la République n’y est pas allé par quatre chemins mais s’est plutôt montré fidèle à lui-même depuis le 23 octobre a Kisangani jusqu’à ce jour.
François RUBOTA reste convaincu de l’inadaptabilité de la Constitution par rapport à la réalité actuelle de la RDC.
Ce qui est vrai la Constitution pose problème depuis 2006 jusqu’après sa promulgation.
Le problème s’est posé en 2011 et la Constitution à été modifiée par la loi numéro 002/11 du 20 février 2012 et les problèmes continuent de se manifester curieusement. Déplore t-il et ceux qui s’opposent aujourd’hui à la révision où changement sont ceux qui ont soutenu ce concept dernièrement.
Voici l’extrait de sa pensée qui résume toutes les autres tribunes faîtes sur cette thématique. << nous devons nous comporter en responsable et confronter les problèmes afin de les résoudre contrairement à l’autruche face aux problèmes ce gros oiseau préfère enfoncer sa tête dans le sable croyant éviter les problèmes et les résoudre.
Ce grand politicien congolais rappelle à l’opinion publique de ne pas confondre la réforme constitutionnelle au mandant d’un Président car celui-ci se donne par le peuple et ne se décrète pas.
Il conclut son point de vue en montrant que la RDC n’est pas le premier ni le dernier pays à reviser ou modifié sa Constitution.
Gaspard LWENDO
OeilTaifa.info